Nouvelles érotiques au féminin, poésies saphiques, littérature lesbienne
13 Octobre 2009
En revanche, si vous vous sentez prête à prendre, dans la plus grande des douceurs, le plus profond désespoir, alors écoutez ce petit bijou, cette incroyable perle. Cette chanson a été écrite en 1933, à la suite d’une rupture amoureuse et a été interprétée notamment par Damia. La mélodie, les paroles sont d’une beauté surréaliste. Je viens de la découvrir et je ne m’en lasse pas. Je suis… éblouie.
Croyez-moi, sans autre raison objective que la simple émotion que transmet cette chanson, j’ai les larmes aux yeux mêlées à cette sensation rare que l’art vous procure lorsqu’il vous touche.
Il m’est déjà arrivée de ressentir cela devant des tableaux, notamment, le Monde des Lumières de Magritte et surtout, devant ces femmes peintes par Toulouse Lautrec, dans ce qu’elles expriment d’extraordinairement vivant, d’incroyablement vibrant, de vrai.
Voilà, c’est peut-être le maître mot, cette chanson est juste vraie.
A vous…
Auteure (romans, nouvelles, chansons), scénariste, amoureuse des mots et des arbres...
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